Tu restes Parce que
tu refuses de porter le masque de la bête
Le prédateur qui guette, attaque , fornique puis dans le
néant se dissipe et se dilate...
Dans ta ferveur profane tu es à l'image de ce peuple
schizophrène
Tu t’accroches à l’idée mais ton corps te traîne
Loin des trottoirs, face à ton miroir tu te demandes
"suis-je honnête ou ...? Non...non mais
je suis un mécène!
Je pervertis, je touche...
ma bénédiction transforme et propulse les âmes molles au cœur de l’arène.
Je suis un guerrier qui crée et qui transforme sa vie et
celle de milliers de personnes.
Je suis un preux
chevalier, œillez ma cape, œillez mon épée , je ne permets qu'on me
détrône !
Mais une fois consommée, ta proie n’est plus vraiment belle, plus rien d’elle ne t’étonne …
C’est triste mais Dieu que c’est exquis de jouer au mécène …
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