Ivre de toi, de nous , de ta chair qui m'appelle ,
Des douceurs d'une nuit d'été , de ce torse à pandore qui m'attire Pour me rejeter aussitôt...loin de moi-même et pourtant si prêt...
Ivre de cette amitié que je te voue , sans trop comprendre
le pourquoi, ivre de moi dans tes yeux qui s'agite comme une flamme au bord de l'eau , choyée et entourée de mille yeux , de mille bras ...
Le cœur aussi s'embrase puis se raisonne..
De sa voix monotone : " le sentier est battu, il ne sert à rien de revenir par là où t'es déjà vue"
Ivre de mes douleurs et de mes peines, de mes joies peut être aussi
Ivre de l'homme en devenir, qu'en toi je vois grandir
Ivre de ce désir qui rode sans oser se dire
Ivre,
Ivre de ces voiles qui m'emportent si loin
De cette force incandescente qui me pousse vers toi et me rejette quand je suis au bord de me souvenir
Ivre de ce vent du nord qui ne va nulle part
De nous deux qui naviguons main dans la main
Sans se frôler
Et sans pour autant se retenir ...
Des douceurs d'une nuit d'été , de ce torse à pandore qui m'attire Pour me rejeter aussitôt...loin de moi-même et pourtant si prêt...
Ivre de cette amitié que je te voue , sans trop comprendre
le pourquoi, ivre de moi dans tes yeux qui s'agite comme une flamme au bord de l'eau , choyée et entourée de mille yeux , de mille bras ...
Le cœur aussi s'embrase puis se raisonne..
De sa voix monotone : " le sentier est battu, il ne sert à rien de revenir par là où t'es déjà vue"
Ivre de mes douleurs et de mes peines, de mes joies peut être aussi
Ivre de l'homme en devenir, qu'en toi je vois grandir
Ivre de ce désir qui rode sans oser se dire
Ivre,
Ivre de ces voiles qui m'emportent si loin
De cette force incandescente qui me pousse vers toi et me rejette quand je suis au bord de me souvenir
Ivre de ce vent du nord qui ne va nulle part
De nous deux qui naviguons main dans la main
Sans se frôler
Et sans pour autant se retenir ...
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